Quels sont les Conforama qui ferme ?
Les 32 établissements qui vont devoir fermer leurs portes sont les magasins d’Antibes, d’Avallon, de Calais, Chalon-sur-Saône, Château-Thierry, Châtellerault, Chelles, Cosne-sur-Loire, Dreux, Fleury-Mérogis, Gondreville, Grenoble, La Chapelle-des-Fougeretz, La Tour-du-Pin, Laon, Leers, Louvroil, Millau, Montauban, … E. B.
Quand va rouvrir Conforama ?
C’est le cas par exemple de l’enseigne de meubles Conforama. Seuls trois magasins ont rouvert dès le lundi 11 mai (Challans, Lons-le-Saunier et Melun). Dès jeudi 14 mai, 18 autres points de vente rouvriront à leur tour leurs portes, la liste étant disponible sur leur site internet. E. B.
Quel magasin va rouvrir ?
Alors que nous entrons dans la première phase de déconfinement, voici les magasins qui ont toujours le droit d’accueillir de la clientèle au 3 mai….Parmi ceux jugés essentiels, on retrouve donc les :
- librairies.
- coiffeurs.
- fleuristes.
- cordonniers.
- auto-écoles.
- concessionnaires automobiles.
- chocolatier.
- magasin de jeux-vidéo.
E. B.
Quelle est la part de marché de Conforama en France?
- L’enseigne est présente dans magasins, 13 400 collaborateurs répartis sur le continent européen dont 8713 en France . En 2016 Conforama reste (en France) à 16,1 % de part de marché, derrière Ikea (19,0 %) et devant But (13,4 %) les chaînes de milieu de gamme (10,6 %)…
Qui est le plus grand Conforama d'Europe?
- Dans la liste se trouve le magasin de Vendenheim, près de Strasbourg. Implanté depuis 2014, il est le plus grand Conforama d’Europe .
Quel est l’objectif du groupe Conforama?
- L’objectif étant « un retour à l’équilibre dans les deux ans », selon une source proche de la direction, sachant que le groupe Conforama a réalisé un chiffre d’affaires hors taxes de 3,4 milliards d’euros en 2018.
Comment fonctionne Conforama dans l’Hexagone?
- L’enseigne d’ameublement française Conforama, détenue par le groupe sud-africain Steinhoff, en proie à de graves difficultés financières, a confirmé mardi 2 juillet 2019 le lancement d’un plan de « transformation profonde et nécessaire » passant par la suppression de 1900 postes dans l’Hexagone.
